samedi 20 novembre 2010

Papaye en force


En mode JCVD, ou Kung Fu Panda, ou encore, Nicky Larson versus l'Undertecker: bientôt sur vos écrans: Papaye le retour!!!
Préparez vos mouchoirs (aucun lien avec Guillaume Canet!), mettez vous bien au chaud et attendez vous à savourer le prochain post, mais surtout les aventures de la vie de Papaye en pagaille!!!
Mais surtout n'oubliez pas: qui s'y frotte s'y nique...
ENjoy!!!...

samedi 12 juin 2010

AMOUR, TEXTILE ET FENG-SHUI




Cette semaine, quelqu'un m'a dit ceci: "lorsque l'on aime ce qu'on a pas, mieux vaut aimer ce qu'on a".
Une phrase (plus proche de la sentence irrévocable que du conseil avisé), ayant probablement pour objectif de m'éclairer sur mes choix personnels et amoureux. Quelque chose de bien-pensant et bien tourné, concernant (et je n'ai pas dit consternant), mon avenir et mon épanouissement, et qui doit avoir un vague lien avec le Karma!... Bref, une sorte de syncrétisme dont je n'ai pas bien compris la portée.

Alors admettons.
Si l'on admet que j'aime Jude Low, on peut également admettre que je ne l'ai pas. (enfin disons qu'en ce moment c'est un peu compliqué. Il est très pris par le boulot et sa mère est du genre envahissante, enfin je vous expliquerais...) Par conséquent, et pour poursuivre cette théorie, je devrais donc cesser d'aimer ce que je n'ai pas (en l'occurrence Jude pour des raisons purement temporaires et réversibles!), mais plutôt mettre toute mon (incroyablement talentueuse) énergie, à aimer ce que j'ai.
Bien. Mais qu'ai-je?
Alors, j'ai bien un vieux dvd de Dirthy dancing, mais j'ai comme le vague sensation que ce n'est pas de cela dont il s'agit.
Non parce que en dehors de Jude, moi en ce moment, je n'ai pas grand chose à me mettre sous la dent. Du moins, rien d'aimable potentiellement.

En parlant d'amabilité (Vous notez la lourdeur de cette transition? Et bien appelons la figure de style!), cette semaine un ami me dit : "Tiens! C'est marrant, toi t'es vachement amie avec tes exs!". Une fois la stupeur estompée, je lui rétorque que c'est marrant, la manière dont il se sert du mot "marrant" dans sa phrase! Mais passons.
Je lui répond que non, je ne suis pas "vachement" amie avec mes exs. Et je constate du même coup, que aujourd'hui encore, en 2010, certains individus utilisent l'adverbe "vachement", sans en éprouver aucune gène ni aucun remords, et ce, aux sus et aux vus de tous, et sans que qui que ce soit ni trouve rien à redire! Et bien moi, je trouve ça bigrement scandaleux!

Mais s'il est vrai que certains de mes amis font également partis de la catégorie "ex-petit ami", il ne faut y voir qu'une simple logique mathématique. En effet, vu le nombre (non répertorié) de mes exs, il était fatal que, selon le principe des probabilités, certains d'entre eux restent mes amis. Car l'on ne peut vraisemblablement pas partir fâché à mort, assorti d'une injonction du tribunal, et ce, jusqu'à la fin de sa vie, à chaque rupture!
De plus, si a priori, on fait un bout de chemin avec quelqu'un c'est qu'il nous plaisait humainement ( oui parfois juste physiquement mais la chaire est faible, et comme disait le grand Jacques, il faut bien que le corps exulte...), et que donc il aurait tout aussi bien pu être notre ami avant même de devenir notre galant.
A contrario, vous me direz que si l'on est plus avec, , c'est qu'il ne nous plaisait plus humainement; et je ne vous en tiendrais pas rigueur.
Mais même s'il est vrai que mon meilleur ami, fut dans un premier temps mon amoureux, et bien j'en conclu simplement, que cela crée des liens. Et s'il est également exacte que certains de mes exs sont aujourd'hui mes amis, c'est sans compter tout ceux que je n'ai jamais revus! Ceux que j'ai évité, et ceux avec qui la guerre fut déclarée!

Je vous entends d'ici, bande de curieux ragoteurs que vous êtes: "Des noms! Des noms!".
Et bien non! Non, je n'en citerais aucun, par respect pour eux.

Mais prenez Mister O. C'est le parfait exemple de celui que je ne revois plus, et qui ne fait clairement plus parti de mon cercle d'amis. Car après avoir passé plusieurs mois à ses côtés, je me suis tout bonnement retrouvée vidée! Rien à voir a voir avec une déscente d'organes, ne vous alarmez donc pas pour un rien voyons! Quoique les symptômes n'en étaient pas tant éloignés... Bref!
C'est juste qu'il a réussi à m'épuiser, physiquement, mais également psychologiquement. Juste à bout, dans un état proche de l'Ohio. (Oui! Oui, à mes heures perdues, je cite volontiers dans le texte des tubes des années 80, et alors?) Enfin tout ça pour dire, que j'étais simplement lassée qu'il m'entraîne, au bout de la nuit, tel un démon de minuit! (Festival!)
Mister O. fait parti de ces hommes qui devraient automatiquement nous donner le droit d'être placée en ZEP lorsque l'on sort avec eux. Oui en ZEP de l'amour, entendez Zone de rElation Prioritaire! Statut qui donnerait d'emblée droit à un aménagement du temps de travail, à des subventions de l'Etat, et à un accès aux soins prioritaire.
Tout ce temps et cette énergie inutilement dépensée dans cette relation, ont irrémédiablement placé Mister O. dans la catégorie "ex à éviter" de ceux que l'on ne revoit jamais.

Il y a peu de temps encore, alors que je tombe (malencontreusement) sous le charme d'un certain Mister K., la discussion revient tel un sale boomerang vicieux sur le tapis. L'Homme me dit: "Tes amis sont tes exs?" Gggrrrr! Que cette conversation m'horripile! Lui aussi d'ailleurs! Allez exit Mister K. et au suivant! Je pense que lui, en revanche, n'entrera pas dans la catégorie des "exs devenus amis"!...

Et puis ce matin, le charmant Mister M. me demande: "Dis moi Papaye?" (Oui je m'appelle vraiment comme ça dans la vrai vie! Et tout les hommes qui m'entourent ont un prénom ne comprenant qu'une seule lettre! Je ne vois pas où est le problème!). "Pourquoi ne parles tu jamais de moi sur ton merveilleux et passionnant blog?"
Je lui rétorque qu'hélas, je n'y parle que des hommes intéressants qui croisent ma route, pas de ceux que j'ai juste envie de croquer...

J'y peux rien moi, si les garçons, c'est comme les vêtements dans les vitrines des magasins, j'ai tous envie de les essayer...

vendredi 5 février 2010

QUE SONT DEVENUS LES FORBANS?


Chèrs lecteurs attentifs, gourmands, agiles, critiques, chaleureux, anticonformistes, curieux, affectueux, décadents, dogmatiques (parfois), impatients (souvent), à tous et à toutes, gentils mais néanmoins intransigeants lecteurs, Papaye vous souhaite une excellente année!
Tout d'abord, je tiens à vous présenter mes plus humbles éxcuses pour mon léger manque d'actualité, mais ce mois de janvier fut plutôt chargé!
En effet, oublier Mr.J fut une des plus grandes occupations, principalement en terme de temps et d'énergie; et comme il n'éxiste pas de patch anti-Mr.J, je vous garantie que ce ne fut pas de tout repos! Ajoutez à ça les rendez-vous chez le coiffeur et l'esthéticienne , les soirées à se couper les ongles de pieds, les longues confections de succulents plats préparés individuels (ah!!! Bolino quand tu nous tiens!...), et bien évidement un peu de cette basse et vulgaire occupation qu'est le travail, et vous obtenez en partie la raison de mon manque de temps à vous narrer les merveilleuses aventures de Papaye en Pagaille!

Mais puisqu'il faut avancer, recommencer, reconstruire et allez de l'avant (à ce qu'il parait!), voici ce qu'il me faut: un nouvel objectif! Un but, que dis-je, une vocation, afin de trouver une énergie nouvelle.
Et c'est donc après avoir dresser une liste non exhaustives des grandes causes dans lesquelles je pourrais m'investir, telles que  - entamer un régime (pfffff!)
- lire la biographie de Demis Roussos (ce qui ne vous tue pas vous rend plus fort)
- me mettre au sport (re-pfffff!)
- apprendre à réciter le Protagoras à cloche pied (quoique les fondements de l'utilité de cette théorie ne soient pas encore prouvés)
- écrire la biographie de principaux protagonistes qui ont fait l'âge d'or d'AB Production
- apprendre une langue régionale (qui n'a jamais rêver de savoir dire "où se trouvent les commodités" en basque?) , j'ai finalement opté pour la solution, de facilité certes, mais cependant autrement plus attrayante, qui était de sortir et de faire la fête!

Et c'est ainsi que j'ai, pendant de nombreuses soirées, écumé les bars moribonds de la capitale, à la recherche du PMU le plus cradingue, du bar tabac le plus malfamé, à boire des panachés infects, parfois même en douteuse compagnie, ou à finir au Balajo à reproduire les plus belles chorégraphies de Dirthy Dancing!
Que celui qui a inventé l'alcool me jette le premier verre (derrière la cravate!).

Bon, j'avoue j'en rajoute un peu, comme d'habitude, disons que je galèje, mais l'objectif est cependant atteint, et je suis maintenant d'attaque pour de nouvelles aventures, et ce, pour votre plus grand plaisir! 

NB: Le Petit Guide des plus mauvais panachés de Paris, paru aux éditions du Houblon Beauceron, écrit et illustré par Papaye est d'ors et déjà disponible dans toutes les librairies.