vendredi 5 février 2010

QUE SONT DEVENUS LES FORBANS?


Chèrs lecteurs attentifs, gourmands, agiles, critiques, chaleureux, anticonformistes, curieux, affectueux, décadents, dogmatiques (parfois), impatients (souvent), à tous et à toutes, gentils mais néanmoins intransigeants lecteurs, Papaye vous souhaite une excellente année!
Tout d'abord, je tiens à vous présenter mes plus humbles éxcuses pour mon léger manque d'actualité, mais ce mois de janvier fut plutôt chargé!
En effet, oublier Mr.J fut une des plus grandes occupations, principalement en terme de temps et d'énergie; et comme il n'éxiste pas de patch anti-Mr.J, je vous garantie que ce ne fut pas de tout repos! Ajoutez à ça les rendez-vous chez le coiffeur et l'esthéticienne , les soirées à se couper les ongles de pieds, les longues confections de succulents plats préparés individuels (ah!!! Bolino quand tu nous tiens!...), et bien évidement un peu de cette basse et vulgaire occupation qu'est le travail, et vous obtenez en partie la raison de mon manque de temps à vous narrer les merveilleuses aventures de Papaye en Pagaille!

Mais puisqu'il faut avancer, recommencer, reconstruire et allez de l'avant (à ce qu'il parait!), voici ce qu'il me faut: un nouvel objectif! Un but, que dis-je, une vocation, afin de trouver une énergie nouvelle.
Et c'est donc après avoir dresser une liste non exhaustives des grandes causes dans lesquelles je pourrais m'investir, telles que  - entamer un régime (pfffff!)
- lire la biographie de Demis Roussos (ce qui ne vous tue pas vous rend plus fort)
- me mettre au sport (re-pfffff!)
- apprendre à réciter le Protagoras à cloche pied (quoique les fondements de l'utilité de cette théorie ne soient pas encore prouvés)
- écrire la biographie de principaux protagonistes qui ont fait l'âge d'or d'AB Production
- apprendre une langue régionale (qui n'a jamais rêver de savoir dire "où se trouvent les commodités" en basque?) , j'ai finalement opté pour la solution, de facilité certes, mais cependant autrement plus attrayante, qui était de sortir et de faire la fête!

Et c'est ainsi que j'ai, pendant de nombreuses soirées, écumé les bars moribonds de la capitale, à la recherche du PMU le plus cradingue, du bar tabac le plus malfamé, à boire des panachés infects, parfois même en douteuse compagnie, ou à finir au Balajo à reproduire les plus belles chorégraphies de Dirthy Dancing!
Que celui qui a inventé l'alcool me jette le premier verre (derrière la cravate!).

Bon, j'avoue j'en rajoute un peu, comme d'habitude, disons que je galèje, mais l'objectif est cependant atteint, et je suis maintenant d'attaque pour de nouvelles aventures, et ce, pour votre plus grand plaisir! 

NB: Le Petit Guide des plus mauvais panachés de Paris, paru aux éditions du Houblon Beauceron, écrit et illustré par Papaye est d'ors et déjà disponible dans toutes les librairies.



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